Une femme, nageant dans son sommeil, abandonnée aux profondeurs du rêve, et des images qui la traversent, échos de la surface, facettes et éclats d’un paysage intérieur.
mardi 30 novembre 2010
Entre deux eaux, sous la surface
Une femme, nageant dans son sommeil, abandonnée aux profondeurs du rêve, et des images qui la traversent, échos de la surface, facettes et éclats d’un paysage intérieur.
samedi 27 novembre 2010
Hier : trois nageuses au lavoir
Hier soir, première présentation publique d'un extrait de La nageuse. Au Lavoir Moderne Parisien, dans le cadre du festival MEP.
C'est une très bonne chose de pouvoir montrer un travail en cours de création : éprouvant, mais très utile!
Maintenant : continuer à avancer, résoudre les problèmes techniques (image et son) et faire beaucoup de filages pour trouver le rythme, la respiration.
Bravo et merci à Carole, Sabine et Lauren. Pour leur présence.
dimanche 21 novembre 2010
libre association : sensations de l'intérieur
vendredi 19 novembre 2010
Les interprètes : Sabine Bogaert
La danse de Sabine se situe quelque part entre Piaf et Marylin, c'est elle même qui le dit.
Elle commence à 6 ans comme beaucoup d'autres petites filles.
Le choc, le vrai, se produit quand, vers 10 ans, elle découvre la danse jazz. Elle poursuit avec passion dans cette voie jusqu'à sa formation chez Rick Odum.
Elle se passionne pour l'enseignement et la transmission et aime puiser dans les racines de la danse jazz : moderne, afro, comédies musicales américaines.
Ouverte et perméable à d'autres univers, elle aime tisser des liens entre la danse, le jeu, le chant, le mime : En 2005, elle participe au festival d'Édimbourg dans "Le songe d'une nuit d'été" pour comédiens danseurs.
En 2004, elle crée la "Cie Essentiel" et crée des spectacles jeune public où se mêlent danse et voix.
Elle a récemment participé au clip "sombre disco" de Martin Angor, chorégraphié par Lauren Burosse.
mardi 9 novembre 2010
Les interprètes : Lauren Burosse
Lauren est née en banlieue parisienne d’un père pharmacien et d’une mère commerçante.
Parallèlement à sa formation de danseuse (avec Anne Goudal puis Nathalie Pubellier, Bruno Sajous et Mathilde Monnier), elle étudie la médecine pendant 5 ans. Elle s’intéresse particulièrement à la psychiatrie car elle perçoit une poésie brute et puissante chez certains des patients qu’elle côtoie.
Son travail artistique s’articule autour de la dualité entre le sentiment récurent que la vie et le monde n’ont aucun sens et un enthousiasme lumineux malgré tout.
Elle a dansé dans la compagnie O.Z.E dirigée par Selin Dündar.
En 2005, elle crée le solo “…après la peur”
La même année, nous créons ensemble Idéale compagnie.
Elle chorégraphie en 2006 le duo “Demain” au sein de la compagnie et danse dans “Neige”, l’année suivante.
En tant que personne et chorégraphe, elle défend avec corps et âme la conviction que l’humain a besoin, avant tout, de poésie, de rêve et de révolte.
Principales influences : Henri Michaux, Joël Pommerat, Bernard Stiegler, Michel Houellebecq, Anne Teresa de Keersmaecker, Arnaud desplechin.dimanche 7 novembre 2010
samedi 6 novembre 2010
Les interprètes : Carole Bordes
Après une formation auprès de Matt Mattox, Carole a dansé dans les Compagnies de Serge Keuten et de Jeanine Lorcas avec qui elle a notamment participé au Festival off d’Avignon en 2008 avec la création « Exode…ou la parole perdue ».
Elle intègre en 2007 la Compagnie de Géraldine Armstrong.
Éclectique, elle danse en parallèle avec Karine Saporta et joue à l’Opéra Garnier dans « Platée », Opéra chorégraphié par Laura Scozzi.
En 2008, elle crée la Compagnie Émoi , qui compte trois pièces tous publics et un spectacle jeune public à son actif.
Sa danse est intuitive, pétillante et féline. Caractérisée par ses contrastes dynamiques et son encrage au sol, elle a pris ses sources dans la danse Jazz pour évoluer vers un métissage chorégraphique, guidé par la musique, une matière précieuse pour elle.
jeudi 4 novembre 2010
mercredi 3 novembre 2010
mardi 2 novembre 2010
Au dessous de la surface
"Au dessous de la surface lumineuse qui s’offre à l’observation
intérieure s’étend une région obscure et inaperçue, peuplée
de phénomènes psychiques dont nous ne saisissons
que les derniers effets diversement combinés et modifiés…
Chaque fait conscient plonge ses racines dans l’inconscient."
(E. Colsenet)
lundi 1 novembre 2010
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